Le président de Brest, Michel Guyot, a expliqué ce dimanche dans L'Equipe qu'il avait interdit à ses joueurs de porter des écouteurs en présence des supporters. «Les gens en ont marre de ces casques et du côté dédaigneux qu'ils dégageaient, a-t-il déclaré. Quand nos joueurs sortiront du car ou de l'avion avec des écouteurs, ça sera une amende. Au contact des supporters, cela sera formellement interdit».
Il a également précisé que Thierry Henry ne portait pas ses écouteurs quand il est allé voir le président de la République, contrairement à ce qu'il «a fait pendant la Coupe du monde. Cela signifie qu'il y a des gens que l'on respecte et moi je souhaite que les spectateurs le soient».
L'article est tout pourri mais j'aime bien le titre!
"Les femmes et le bordeaux, je crois que ce sont les deux seules raisons de survivre." PD "Entre le faible et le fort, c’est la liberté qui opprime et la loi qui libère" Rousseau
Mais avant de tourner définitivement la page lorraine, Ouaddou n'a pas résisté à l'envie de livrer une dernière fois le fond de sa pensée à propos de Pablo Correa, qui fut son coéquipier puis son entraîneur à l'ASNL. «J'ai du mal avec les gens qui glissent des peaux de bananes aux autres pour parvenir à leurs fins. Je pense à la façon inélégante qu'il a utilisée pour prendre l'équipe A après Moussa Bezaz, à la manière dont il a viré Patrick Hesse du centre de formation et plus dernièrement pour évincer Laurent Denis, l'ancien entraîneur des gardiens. Et il a tout fait pour que Fred Biancalani ne reste pas à Nancy parce qu'il avait ses diplômes d'entraîneur», explique Ouaddou. «Je me souviens aussi de ses causeries mémorables et des propos insultants tenus à l'encontre de joueurs ou d'entraîneurs adverses qui n'ont pas la même philosophie du football que lui. Cela m'avait choqué. Et je ne parle même pas des relations conflictuelles qu'il (Correa) a entretenues avec Dosunmu, Kroupi, Calvé, Sauget, Gunnarsson et moi. Tout cela a coûté beaucoup d'argent à l'ASNL. Voilà un grand stratège, du moins dans les coulisses !»
Ouaddou balance sur Correa, je ne pensais , à l'inverse de certains ici qui avaient vu juste, qu'il était aussi con, leur coach...
“Il n’y a ni justice ni liberté possibles lorsque l’argent est toujours roi.” [Albert Camus]
Romeyer à propos de Dabo parti gratos au FC Séville...
«Je ne vais pas épiloguer, mais les joueurs d'aujourd'hui ont des valeurs dans lesquelles je ne me reconnais pas, que je ne comprends pas. Ils ne pensent qu'au fric... J'aurais aimé que Mahamadou n'oublie pas que sa réussite est également due à son club formateur. Avant qu'il s'en aille, je lui ai cité les cas de Guillaume Hoarau et Jimmy Briand, deux grands bonhommes qui ont prolongé leur contrat avant de partir. J'espérais un petit retour... Avec cet argent, on aurait pu faire venir d'autres jeunes du centre d'Yeggo à Dakar avec lequel on est partenaire. Je me souviens qu'à l'époque où on a pris Dabo, il était en balance avec un autre joueur du même centre. Ça s'était joué à pile ou face. Aujourd'hui, l'autre joueur, il est toujours là-bas avec une situation financière très précaire. Ça aurait pu être l'inverse.»
Membre de l'association des Hélicobiteurs Rennais (Ntep Président!)
Parce qu'il aurait pu tranquillement rester moisir sur le banc.
Parce qu'il aurait trouver un club même en l2 avec au moins 10000€ par mois.
Parce qu'il a le courage de dire merde au foot actuel dans lequel il ne se reconnait pas.
Parce qu'il n'a que 27 ans et qu'il aurait pu jouer encore 10 ans.
Ca suffit?
Membre de l'association des Hélicobiteurs Rennais (Ntep Président!)
Maxi foot – «Il reste des bons mecs dans ce métier, après les bouffons que j'ai croisés dans ma carrière, surtout à la fin, à Nantes»
Arrivé au terme de son contrat avec le FC Nantes, Jérôme Alonzo, sans club, s'entraîne actuellement avec l'OGC Nice. L'ancien gardien du Paris Saint-Germain est en tout cas bien content d'avoir quitté les Canaris : «Je retrouve l'essence du métier avec les jeunes joueurs du groupe, respectueux et bien éduqués. Il reste des bons mecs dans ce métier, après les bouffons que j'ai croisés dans ma carrière, surtout à la fin, à Nantes.»