Faut-il aimer Van Bommel ?
Il est le joueur que tout le monde adore. Que tout le monde adore détester, surtout.
Van Bommel se maîtrise face à Robinho et les Pays-Bas éliminent le Brésil du Mondial.(REUT)La qualification des Pays-Bas face au Brésil (2-1) rétablit, par son scénario renversant et le soudain basculement du rapport de forces, les parts respectives du talent et du mental dans le sport de haut niveau. Avec Robben, Van Persie, Sneijder, les Pays-Bas ne sont pas l'équipe européenne qui a le moins de talent, c'est un euphémisme. Mais avec Mark van Bommel, son phare dans le gros temps de la première période, à Port-Elizabeth, c'est une équipe au drôle de mental. L'aboyeur néerlandais est le leader du refus de la défaite et des mauvais coups, mais le leader, aussi, de la transition défense-attaque, par l'impulsion qu'il donne au jeu et son sens du geste juste : en gros, ce Van Bommel est un sacré joueur.
Alors, peut-on aimer Van Bommel, ses plongeons d'acteur de série B, sa manière d'arbitrer en permanence et de jouer les coudes écartés, cette façon de faire mal quand on ne le regarde pas ou de commettre une grosse faute sans jamais se retourner pour mieux gagner l'impunité ? C'est une bonne question. Quand on joue contre Van Bommel, ou quand on supporte une équipe qui joue contre Van Bommel, et même quand on s'installe devant un match sans préférence particulière ni durable, l'envie de l'accrocher au porte-manteau revient dix fois par match. Il est le joueur que tout le monde adore détester. Mais il suffit de renverser la perspective pour balayer le moindre doute : quand on est entraîneur, on commence par choisir MarK Van Bommel. Même s'il s'agit de son gendre, ce qui est le cas de Bert Van Marwijk, le sélectionneur néerlandais, les autres joueurs ne s'en plaindront jamais.
A 33 ans, il aura seulement échoué à Barcelone, une équipe qui avait trop le ballon pour mettre en valeur ses qualités. S'il est capitaine des Pays-Bas, à la tête d'une sélection qui a une chance historique de disputer à nouveau une finale de Coupe du monde, après l'enchaînement perdu de 1974 et 1978, c'est parce qu'il est bien autre chose qu'un mauvais garçon. Un sacré joueur. Alors oui, on a le droit d'aimer Van Bommel. Ou pas, bien sûr. - Vincent DULUC
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UN poil énervé, mais sur le fond je suis d'accord
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Une année de feu...
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Remplaçants : Morel, Klose, Honda, Beauséjour, Lee Jung-Soo, Lee Chung-Yong, Iniesta, Gyan, Piqué, Van Bommel, Kuyt, etc...
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"Je ne supporte plus ces critiques permanentes. J’ai l’impression que dans ce club, on veut toujours montrer ce qui n’est pas bon."
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Les cahiers a écrit :"Là c'est dur, là c'est dur, là c'est très très dur... là c'est très dur, là c'est très dur." Jean-Mimi reprend les plus grands textes de Tabatha Cash.
Les cahiers a écrit :J'ai vu Van Bommel contester son carton jaune et les Uruguayens réclamer une main dans la surface à la dernière minute. Le foot, c'est magique.
"Les femmes et le bordeaux, je crois que ce sont les deux seules raisons de survivre." PD
"Entre le faible et le fort, c’est la liberté qui opprime et la loi qui libère" Rousseau
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simka1000 a écrit :En arrière gauche le mexicain Salcido m'a fait excellente impression , mieux que Contrao !
En arrière gauche, j'ai mis au pif parce que j'avais pas d'idée
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